Je les conte par attachement, par facilité aussi à m'exprimer avec ce dont je dispose depuis toujours.
Elles guident mon travail manuel.
Je les dois souvent à mes proches et puis à des naïfs malicieux, à des "originaux" qui me sont proches aussi.
Je tente de répercuter leur influence sur mes objets.
Inversement, c'est parfois l'objet en construction qui invente une fable, et elle s'unit aux précédentes.
Puis, dans l'atelier des images reviennent, je retrouve un ouvrage plus que je ne le construis.
Alain Fornells